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Des vies comme des particules
Qui s'attirent et puis s'entrechoquent
Elles se hâtent, soudain reculent
En trajectoires réciproques
Elles fusionnent ou bien s’évitent
Puis se trouvent sans le vouloir
Pendant que leurs courbures ébruitent
Des cris de vie, des brins d’espoir
Et dans sa forteresse il la berça longtemps
Si longtemps que la pluie se tarit dans le vent
Si longtemps que le temps vint à les oublier
Si longtemps qu'ils aperçurent l'éternité