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Henri Lebasque (1867-1935)
Peintre de la joie et de la lumière.
Farniente méditerranéenne.
Henri Lebasque (1865-1935).
Peintre de la joie et de la lumière.
Quiétude et silence.
C’est un roman fleuve, un joyau littéraire. Il faut aimer les textes rutilants et les phrases qui scintillent.
« Les Filles du Calvaire », Prix Goncourt de #PierreCombescot ,dans sa joyeuse langue argotique raconte Rachel Aboulafia, alias Maud Boulafière et son univers interlope.
Qu’est-il de plus féminin que les aquarelles de #MarieLaurencin .
La créatrice aimait jouer dans des palettes de pastels et de gris.
Regards noirs figés que transfigurent des tourbillons de nuances comme déteintes, lavées, délavées.
Ce sera la saison des amours avec Apollinaire.
C’était en 1954.
Il vivait à Antibes.
Ses peintures étaient devenues figuratives.
Plus légères et fluides, au pinceau.
Issu de l’aristocratie russe, #NicolasdeStaël réalisa 300 œuvres cette année-là.
Il se défenestra de son atelier. Il avait 40 ans.
Le génie et la tragédie.
#PaulCézanne aimait les fruits.
Cadeaux de la Terre, don de la nature.
Cette belle nature provençale qu’il peignait si magnifiquement.
Pommes, poires ou pêches. Cerises et abricots.
Compositions colorées somptueuses dans d’humbles décors paysans.
Tels des joyaux dans leur écrin.