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Pour Busshi no Busshi, malheureusement comme je n'ai pas vraiment pu le lire (juste 2 chapitres), je ne pourrai pas en parler comme les autres, mais les couvertures donnent vraiment envie.
Enfin Shimanami Tasogare, 4 tomes: Tasuku est trahi par son historique où il y avait un porno gay. "Je crois que je suis mort" et au moment où il veut sauter, il rencontre l'hôte et par la suite une association LGBT. On suivra ainsi les difficultés mais aussi les moments de joie.
On sent d'ailleurs l'évolution du style depuis Nabari, et les sons et sentiments sont transcrits sur les pages de manière poétique (j'aime particulièrement comment Kamatani mélange les espaces, les personnages pour rendre le tout "flottant"). L'espace y est très souvent mélangé
Nabari se passe dans un monde de ninja, Shounen note parle d'une chorale, Shimanami Tasogare raconte le quotidien d'une petite association LGBT+, Busshi no Busshin met en scène un sculpteur dans le contexte du bouddhisme. Je vais brosser rapidement ce qui m'a plu dans son travail
Au Japon, il y a Busshi no Busshin (digital chez Square Enix, 5 vol., en cours). C'est assez rare pour ne pas le mentionner mais Kamatani Yuhki est un.e auteur.e qui a déclaré officiellement être x-gender et asexuel.le (malheureusement iel a supprimé son twitter).
If Vanitas and Break had sons in Touken Ranbu that would be Matsui Gou and Minamoto Kiyomaro (笑)
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Kinako, I love Iwatooshi, thanks for creating him 😭💜 https://t.co/YZwusf8Wu8
@gliterryose J'ai l'impression d'avoir révisé pour rien, j'aurais du dormir plus cette nuit si j'avais su qu'on aurait eu cette blague