Passionné de métal et de films d'horreur, le mangaka Rei Mikamoto dispose d'un style graphique très personnel avec toute une cohorte de demoiselles qui sont de véritables distributrices à mandales.
Voilà, on y est : Keiko Takemiya en français grâce à @ChrisGeldron/@NabanEditions. Ce vendredi, vous devrez impérativement vous procurer cette pierre angulaire de la SF au féminin !
(Si vous ne le faites pas, un T-rex viendra chez vous imiter le sketch du chinois de Michel Leeb.)
Tome 15 de mon péché mignon : "Keijo!!!!!!!!" de Daichi Sorayomi (Shôgakukan). Mettre la main sur une victoire face aux 5 meilleures keijokas de l'archipel.
Et mettre la main sur une édition française ? Un jour, qui sait...
Le PILIER qui a ouvert les portes du manga en France (hors Club Do') : "Akira" de Katsuhiro Otomo avec cette couverture saisissante de la version kiosque (Glénat).
Tome 3 de la jolie "Arte" de Kei Ôkubo (Komikku). Batailler à armes égales sur un terrain masculin et prouver sa valeur.
Le tome 5 du fascinant "Le Couvent des Damnées" de Minoru Takeyoshi (Glénat).
Thread de l'infini : présenter pour chaque série que j'ai lue (donc plusieurs centaines... !) la couverture qui m'a le plus marqué par sa beauté, son originalité ou encore sa mise en scène. On démarre avec celle du tome 24 de "Prison School" d'Akira Hiramoto (Soleil Manga).
Midori no basho est un shônen de @tokitamagogo créé en 2019 (3 vol., en cours) sur le billard au féminin. On suit les tactiques de génie d'une lycéenne maniant la queue (hum !) depuis toute petite et qui va mettre la pâté aux professionnel.le.s du milieu !
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@GatsuRyujii @noevegrafx C'est probable mais dans le cas présent, nous sommes face à un gaiden qui s'est terminé en 3 tomes (dont un one-shot qui se déroule avant l'action principale dans Divci Valka). Donc la prise de risque me paraît minime... ?