Les femmes que Hopper nous montre en train de lire ne sont pas dangereuses mais en danger, non pas du fait de leur imagination débordante, mais à cause de la dépression qui les guette .
Les femmes qui lisent sont dangereuses
Laure Adler
J’entends courir la nuit par les sillons
Du visage – on dirait qu’elle m’appelle,
Que soudain elle me caresse,
Moi, qui ne sais même pas encore
Comment assembler les syllabes du silence
Et sur elles m’endormir.