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Jean-Honoré Fragonard, Les Hasards heureux de l’escarpolette, 1767-1769. Londres, Wallace Collection.
La nature assez brute, presque sauvage, surprend quelque peu dans ce tableau si délicieusement rococo. Mais en Angleterre règne déjà le roman gothique, et le Sturm une Drang frémit au-delà du Rhin…
Dans un bois charmant, aux arbres centenaires et aux jolies sculptures, une gracieuse jeune fille semble s’envoler sur une balançoire. Elle est vêtue presque comme une bergère de l’opéra. La lumière douce et dorée d’une après-midi d’été… et dans l’ombre…
Les mauvais ont été précipités par les démons ; les justes sont élevés par les anges, vers la rédemption suprême, vers l’empyrée, comme au bout de ce tunnel de lumière, où le Fils de l’Homme attend de les accueillir.
Deux hommes, au premier plan, s’affrontent. Les muscles sont tendus, la violence est marquée. Ils s’entredévorent, même.
Papiers décorés : des papiers dominotés cette fois ! Autour de 1810. Allemagne du Sud et Italie !