Julia Popek 🇪🇺🇺🇦 (en petite pause)さんのイラストまとめ

Suite à ces illustrations, d'autres mangakas reprennent ces cheveux colorés, notamment les célèbres Yukari Ichijō et Ryōko Yamagishi.

Les cheveux aux couleurs non-naturelles sont depuis devenu un standard dans certains mangas et animes.

Hop, j'ai participé.

Je ne vais pas passer à côté d'une chance d'avoir cette autrice publiée en français. Surtout avec un artbook. https://t.co/GOEM1KgNBz

J'ai lu hier soir les deux premiers tomes de Nina du royaume aux étoiles, un shōjo manga de Rikachi en cours de publication chez @kazoku_sikku.

C'est pour l'instant très classique, mais tout autant excellent ! 💚
Vraiment, si vous aimez les shōjo d'aventure, lisez-le !

Petit remplacement des peintures de Shigeru Sudō par celles de Kōji Fukiya.
D'après wiki (sans source…), c'est lui qui aurait donné le nom de « jojō-ga » au style de peinture qui a dominé les magazines shōjo lors de l'avant-guerre et qui a fait ses petits dans le shōjo manga.

Pourtant ces BDs sont bourrées de qualités.

Le point principal que soulignent Fraser et Monden est qu'elles « éclairent d'une lumière positive des problématiques, des valeurs et des esthétiques féminines, habituellement dénigrées par les autres médium ».

À côté de ça, les shōjo mangas mainstream qui assument leur aspect girly, tels que par exemple les histoires d'amour hétérosexuel, le ballet, la mode ou les contes de fées sont au mieux ignorés et toujours mal perçus.

Mais il y aurait à côté de ça des « vrais shōjo mangas sérieux et de qualité ».

Fraser et Monden identifient au niveau académique la tendance à glorifier la transgression sexuelle/genrée. Par exemple avec les œuvres des autrices identifiées comme « l'An 24 » et avec le BL.

Si l'horreur est un genre historiquement très orienté shōjo manga, c'est en partie grâce aux œuvres de Gōseki Kojima.
Car les mangas plus ou moins horrifiques qu'il publiait dans Kaidan entre 1958 et 1967 ont été très populaires auprès de la gent féminine.