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Boulevard de références cinématographiques, opéra spatial noir aux touches jazzy, dessin d'une humanité prisonnière du passé : il y a tout dans #CowboyBebop, et sa lucidité, comme la pleine maîtrise de ses sujets, en fait un chef d'œuvre protéiforme. L'animé fête ses 25 ans.
À chaque page qui se tourne, son statut de roi du shōnen se confirme. #Naruto est d'une efficacité imparable, superposant des valeurs aussi simples que l'amitié et l'honneur à des combats mythologiques et fraternels déchirants. Un long voyage, d'élève à divinité.
D'une démesure absolue, pour mieux illustrer l'effort et la dangerosité de ce voyage jusqu'aux laves du Mordor, #LeRetourDuRoi se trouve gorgé de séquences aussi spectaculaires qu'elles sont vectrices de larmes. Un dernier opus pour les gouverner tous, qui fête ses 19 ans.
Dans la lignée d'un premier opus déjà extraordinaire, #ToyStory2 conserve son intelligence et adopte un angle différent quant à notre rapport au matériel, où la folie d'un collectionneur devient l'enfer. Une comédie hilarante et référencée qui fête ses 23 ans.
Dans la lignée d'un premier opus déjà extraordinaire, #ToyStory2 conserve son intelligence et adopte un angle différent quant à notre rapport au matériel, où la folie d'un collectionneur devient l'enfer. C'est aussi une comédie hilarante et pleine à craquer de références.
Le pilote de #CowboyBebop est une merveille. L'on y retrouve déjà toutes les singularités de la série de Shin'ichirō Watanabe : la mélancolie latente, l'influence prononcée du septième art, le sens du timing, la fuite en avant, ses personnages excessivement classes.
Cette aventure démarre innocemment, avec sa tonne de blagues, parfois vaseuses, et son action cartoonesque. Un préambule loin de résumer toute l'ampleur de #DragonBall, son universalité, sa violence, son importance. Que de personnages extraordinaires et de frissons.
Les vices de l'homme, exacerbés par le contexte (la course à l'armement), ne valent rien contre les boulons de l'amitié. Brad Bird forge un conte moderne et ingénieux avec #LeGéantDeFer, entre King Kong et E.T., à l'animation somptueuse, à la mécanique rodée.
La troisième saison de #LoveDeathAndRobots rattrape les échecs de la précédente : une surdose de photoréalisme, encore, mais les délires sont diversifiés, grisants et arborent une direction artistique suffisamment neuve pour créer la surprise. Disponible sur #Netflix.
Les premiers amours, la leçons des anciens, le passage à l'âge adulte : en proie aux ténèbres de l'Empire, les enfants de #StarWars grandissent. Le cinquième épisode de la saga, son meilleur, est celui de l'apprentissage. Un chef d'œuvre galactique qui fête ses 42 ans.