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Sous une pluie de cendres et de larmes, #TheCloneWars livrait son dernier épisode il y a 2 ans. Un dernier acte plus émouvant que spectaculaire, porté par un désespoir identique à celui de La Revanche des Sith. L'histoire #StarWars la plus passionnante depuis une décennie.

Une décennie après les origines, l'univers #Marvel se contracte pour parer Thanos, ici développé comme le protagoniste de l'épopée super-héroïque. Les frères Russo offrent à la franchise son meilleur chapitre, nos héros en détresse. #AvengersInfinityWar fête ses 4 ans.

Les rues dansantes de Paris feraient presque oublier les barrières sociales à ces petits félins, plus que mignonnes boules de poils. Le jazz rythmant leurs pas, chats et chatons reconsidèrent et chantonnent dans un #Disney culte. Drôle de poésie que #LesAristochats.

Une parenthèse de bonheur, d'insouciance et de grivoiserie, abrégée par la détermination sans faille d'un héros qui n'en est plus un. Ne reste que les cendres d'un idéal, nos larmes face à l'abominable, des amis obligés de s'entretuer. #ShingekiNoKyojin à son plus haut niveau.

Boulevard de références cinématographiques, opéra spatial noir aux touches jazzy, dessin d'une humanité prisonnière du passé : il y a tout dans #CowboyBebop, et sa lucidité, comme la pleine maîtrise de ses sujets, en fait un chef d'œuvre protéiforme. L'animé fête ses 24 ans.

La trilogie animée Golden Age fait une base solide à #Berserk, malgré ses écarts esthétiques. Un passage de la lumière aux ténèbres exténuant, d'une violence insoutenable et vicieuse, pure immersion en enfer. Les héros se noient dans leur propre sang, le soleil est mort.

Chose promise, chose due : #ShingekiNoKyojin a (encore) attesté de sa puissance de frappe avec un épisode qui redistribue sauvagement les cartes. Comme si, aux portes de la conclusion, tout était encore possible. Du génie à chaque rebondissement. #AttackOnTitanFinalSeason

S'il ne sort que très peu des sentiers battus, #JeVeuxMangerTonPancréas s'avoue très efficace quand il chatouille la corde sensible des sentiments et de l'indéfectible. Un peu de poésie et de sensibilité face à la fatalité de la maladie, ça ne fait pas de mal.

Bâtie de noir et de blanc, la capitale des péchés s'érige hors des cases de Frank Miller et, dans le mouvement, ne perd rien de sa classe. Le roman graphique et le septième art fusionnent pour une œuvre hybride, éclaboussée de sang et perversités. Sin City, métropole de style.

Terme du voyage homérique, jonché de séquences aussi spectaculaires qu'elles sont vectrices de larmes chaudes, un troisième et ultime chapitre pour les gouverner tous. D'une démesure absolue, bravant les limites techniques de son temps, Le Retour du Roi fête ses 18 ans.