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A contrario, une relecture tend à montrer que l'archerie n'a pas empêché les troupes lourdes françaises de fortement mettre en danger les anglais. Qui doivent surtout leur salut au génie d'Henry V, incontestable.
Je conseille notamment le bouquin d'Anne Curry sur le sujet.
Reprenons notre technique : cette fois, on la retrouve à l'identique (sans variation dans la position des corps) dans une série de manuscrits de la première moitié du XVIe siècle. La compilation de Paulus Hector Mair, patricien d'Augsbourg pendu pour avoir piqué dans la caisse.
L'illustration suivante du manuscrit le plus ancien, elle est aussi présente dans le manuscrit de Berlin, mais AVANT, au feuillet 38 recto. Avec, encore une fois, des modifications.
Ce qui pose en fait de grosses questions sur l'affiliation entre les 2.
Faut toujours faire gaffe quand on fait de la relecture anonyme d'articles.
Surtout sur un sujet de niche.
@AymericLeruste Urs Graf, qui a vu et probablement participé à des engagements de piquiers, avait un talent pour retranscrire la violence de ces combats
En France, on a vraiment un talent (non !) pour les titres de films étrangers.
Pour les curieux le film est coréen, date de 1972 et s'appellerait "Du bei chuan wang"
@Amugnier Je dois avoir une traduction du bâton selon Joachim Meyer, un strasbourgeois de la mi XVIe, quelque part dans mes papiers jamais mis en forme.
@JDDelle_Luche J'avais peu creusé le texte, parce qu'honnêtement, je savais pas où commencer
Cocasse extrait d'un journal de Philadelphia qui publie, en 1908 et en français, un article sur la défense au parapluie. Avec une femme en démonstratrice.
Prenons, pour changer, le manuel du strasbourgeois J. Meyer. Dans le chapitre dédié à l'épée seule, ou "rapier", il décrit souvent des postures plus exigeantes pour le corps que l'épée tenue à deux mains. Notamment des positions éprouvantes pour les genoux et les hanches.